« Gilets jaunes », George H. W. Bush, Maria Pacôme : les cinq infos à retenir du week-end

« Gilets jaunes », George H. W. Bush, Maria Pacôme : les cinq infos à retenir du week-end
« Gilets jaunes », George H. W. Bush, Maria Pacôme : les cinq infos à retenir du week-end

Le Monde

 

682 personnes interpellées, 263 blessés. L’« acte III » du mouvement des « gilets jaunes », samedi 1er décembre, aura été marqué par de nombreuses scènes de violence à Paris et dans plusieurs villes de France. Selon le ministère de l’intérieur, 136 000 personnes ont participé à ce troisième week-end de mobilisation. Ils étaient 166 000 lors de l’« acte II », le 24 novembre. Dimanche, le président Emmanuel Macron est allé constater les dégâts dans le centre de la capitale alors que l’exécutif doit faire face à une crise politique majeure.

Un automobiliste est, par ailleurs, mort dans la nuit de samedi à dimanche à Arles, dans les Bouches-du-Rhône, après avoir percuté un poids lourd à l’arrêt en raison d’un bouchon provoqué par un barrage de « gilets jaunes ». Il s’agit du troisième mort depuis le début du mouvement, le 17 novembre.

Notre reportage : « Gilets jaunes » : à Paris, des destructions, des violences et un mot d’ordre, « Macron démission »

Elle a été l’une des reines du théâtre de boulevard, dans des rôles de bourgeoise exubérante et un visage familier au cinéma, où elle marqua les esprits en mère indigne et énervée dans La Crise. La comédienne Maria Pacôme est morte samedi à l’âge de 95 ans.

Elle avait accédé à la notoriété en 1958 avec Oscar, de Claude Magnier, créé avec Pierre Mondy et Jean-Paul Belmondo et qu’elle avait repris en 1971 avec Louis de Funès. Lasse d’être cantonnée à des rôles de femmes excentriques, elle s’était lancée dans l’écriture à la fin des années 1970, rédigeant sept pièces dont On m’appelle Emilie, Les Seins de Lola et sa dernière en 2002, L’Eloge de ma paresse.

Pour le G20, le pire a été évité de justesse. Au terme de laborieuses négociations, les dirigeants des principales puissances économiques de la planète ont fini par s’entendre samedi sur un compromis, actant leurs divergences sur le climat mais appelant ensemble à une « réforme de l’Organisation mondiale du commerce [OMC] ».

Réunis à Buenos Aires, en Argentine, les Européens ont fait bloc pour tenter d’éviter toute reculade sur la question de la lutte contre le réchauffement climatique. Dans la déclaration finale, la quasi-totalité des membres du G20 rappelle ainsi l’irréversibilité de l’accord de Paris. A l’exception des Etats-Unis, qui, sans surprise, confirment leur retrait et disent s’engager en faveur de « la croissance économique, l’accès à l’énergie et la sécurité, en utilisant toutes les technologies et les sources énergétiques disponibles ».

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